Vitrail photographique à l'église de Grand-Corent (Ain). La loi impériale du 23 Prairial an XII (12 juin 1804), impose l’obligation d’inhumation pour tous dans un cimetière. Pour honorer un défunt et pour garder un souvenir de ses traits, les familles les plus riches avaient la possibilité de commander à un sculpteur une statue à l'effigie de la personne disparue. Les plus pauvres, eux, n'avaient que leurs yeux pour pleurer. E n ce temps-là, c 'est à la statue qu'on s'adressait pour conserver les traits des hommes. Le portrait était, presque autant que de nos jours, quelque chose de démocratique, à demi nécessaire à l'existence. Le sculpteur devait représenter les morts dans l'attitude qu'ils avaient le plus volontiers prise dans la vie. S'agissait-il d'un enfant, il le montrait avec son jouet favori ou son animal familier, oiseau, chien ou chat. Parfois, au lieu de l'outil professionnel, le sculpteur mettait dans la main du mort ...
J'avais loupé la création du blog, il est très chouette ! (signé @les_briques qui n'arrive pas à se déconnecter de son ancienne identité de blogueuse périmée)
RépondreSupprimerOh mais c'est chouette, je connais enfin ton blog ! Je vais dévorer tout ça du coup.
Supprimer